Pierre et le loup:Nous faisons face à une expérimentation en double aveugle

Nous faisons face à une expérimentation en double aveugle


Commentaires des internautes (1) –

Publié le mardi 14 septembre 2021

Auteur / source : clinicaltrials.gov

Catégorie : Science, santé et technologies

Nombre de consultations : 319

Voici les preuves que nous avons affaire à une expérimentation en double aveugle et qu’une partie des doses injectées consistent en un placebo.

« As far as the UK is concerned they will be considered « fully vaccinated » whether they have had the placebo or the vaccine. »

(En ce qui concerne le Royaume Uni, ils seront considérés comme « complètement vaccinés », qu’ils aient reçu le placebo ou le « vaccin ».)

— Nadhim Zahawi, homme d’affaires et politique britannique ; vidéo (marqueur 0:22)

Ok ! On nous dit encore aujourd’hui qu’il faut suivre la science et ensuite on nous raconte qu’un individu qui participe à son insu à une expérimentation en double aveugle est considéré comme « vacciné » même si on lui injecte du simple sérum physiologique ! Je ne parle même pas de la prétendue dangerosité de ce virus. S’il était si dangereux, nos gouvernements ne feraient-il pas tout pour autoriser les traitements qui marchent plutôt que d’injecter un produit expérimental ou un placebo dans les veines de leurs citoyens ? Et vous allez encore me dire qu’ils veulent notre bien ?

La seule raison pour laquelle cela passe auprès de la population pour une vaccination est que la propagande médiatique fonctionne et que les citoyens ne s’informent pas parce qu’ils pensent que nos gouvernements nous veulent vraiment du bien.

Voici à présent les données officielles (mais que les médias et nos gouvernements font tout pour nous cacher) :

Pfizer

Source (données officielles) : https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04368728

Remarquez aussi le terme « participant ». « Estimated Enrollment » signifie :

The number of participants in a clinical study. The « estimated » enrollment is the target number of participants that the researchers need for the study.

(Le nombre de participants à un essai clinique. Le taux de participation « estimé » est le nombre cible de participants dont la recherche a besoin pour son étude)

Cela nous indique quelque chose d’essentiel : ces études cliniques ont besoin d’un nombre déterminé de participants. Au-delà duquel la participation n’est plus requise. Pourtant le nombre de personnes injectées à travers le monde (c’est-à-dire celles qui participent à cette expérimentation à leur insu) est bien supérieur à ces valeurs !

De plus peut-on considérer un individu comme étant participant s’il n’est pas informé qu’il se prête à une expérimentation et qu’il n’est pas prévenu des potentiels effets indésirables auxquels il peut s’attendre et des éventuels indemnisations auxquelles il peut prétendre ?
Peut-on se considérer « participant » si on nous contraint à participer ?

Moderna

Source : https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04470427

ASTRAZENECA

Source : https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04516746

Double Blind: two or more parties are unaware of the intervention assignment.

(Double aveugle : deux parties ou plus ignorent quel est le produit qui est injecté [le « vaccin » expérimental ou le placebo] — à savoir la personne injectée et la personne qui injecte, au minimum)

JOHNSON & JOHNSON

Source : https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04505722

Remarquez que pour le « vaccin » AstraZeneca il est indiqué :

Primary Purpose : Treatment

(Objet principal : traitement)

Ce n’est même pas un vaccin mais un traitement (génique). Il ne vise nullement la prévention — il n’empêche ni l’infection ni la contamination.

Pour comprendre le fonctionnement et les dangers de ces « traitements », je vous invite à écouter les explications du Dr Christina Parks lors de son témoignage devant l’Assemblée Générale du Michigan (version longue en anglais).

« Ces vaccins N’EMPÊCHENT PAS la transmission »

https://odysee.com/$/embed/Le-Dr-Christina-Parks-affirme-que-le-vaccin-aide-%C3%A0-la-transmission-du-virus/a874c050ccf077193c8aa69ccece8b806624f597?r=AEQvCdscD4gn8A6RigWrXAJyZ9tzGDSU

Autre information intéressante que l’on trouve sur ce site :

Choisir de participer à un essai [clinique] est une décision personnelle importante. Discutez en avec votre médecin et les membres de votre famille ou vos amis avant de prendre la décision de participer à une étude [randomisée]. Pour en savoir plus sur cette étude, vous ou votre médecin pouvez contacter le personnel de recherche de l’étude en utilisant les contacts fournis ci-dessous.

Étonnant que ce ne soit pas le genre d’information que l’on nous communique dans les médias et dans les centres de « vaccination » !

Avec ça vous avez de quoi vous défendre et justifier votre refus de ces injections expérimentales forcées !

Si vous avez reçu l’injection et n’avez eu aucun effet secondaire, ne concluez donc pas trop vite que ce produit est sûr et sans danger. Vous êtes tombé — rendez-en grâce à Dieu — sur le placebo. Mieux vaut ne pas jouer une nouvelle fois à la roulette russe si on vous propose une seconde injection !

Rappelons le Code de Nuremberg

Le « code de Nuremberg » établi une liste de dix critères contenue dans le jugement du procès des médecins de Nuremberg (décembre 1946 – août 1947) qui précisent les conditions auxquelles doivent satisfaire les expérimentations pratiquées sur l’être humain pour être considérées comme « acceptables »

  1. Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne intéressée doit jouir de capacité légale totale pour consentir: qu’elle doit être laissée libre de décider, sans intervention de quelque élément de force de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes de contraintes ou de coercition. Il faut aussi qu’elle soit suffisamment renseignée, et connaisse toute la portée de l’expérience pratiquée sur elle, afin d’être capable de mesurer l’effet de sa décision.
    Avant que le sujet expérimental accepte, il faut donc le renseigner exactement sur la nature, la durée, et le but de l’expérience, ainsi que sur les méthodes et moyens employés, les dangers et les risques encourus; et les conséquences pour sa santé ou sa personne, qui peuvent résulter de sa participation à cette expérience.
    L’obligation et la responsabilité d’apprécier les conditions dans lesquelles le sujet donne son consentement incombent à la personne qui prend l’initiative et la direction de ces expériences ou qui y travaille. Cette obligation et cette responsabilité s’attachent à cette personne, qui ne peut les transmettre à nulle autre sans être poursuivie.
  2. L’expérience doit avoir des résultats pratiques pour le bien de la société impossibles à obtenir par d’autres moyens: elle ne doit pas être pratiquée au hasard et sans nécessité.
  3. Les fondements de l’expérience doivent résider dans les résultats d’expériences antérieures faites sur des animaux, et dans la connaissance de la genèse de la maladie ou des questions de l’étude, de façon à justifier par les résultats attendus l’exécution de l’expérience.
  4. L’expérience doit être pratiquée de façon à éviter toute souffrance et ou dommage physique et mental, non nécessaires.
  5. L’expérience ne doit pas être tentée lorsqu’il y a une raison a priori de croire qu´elle entraînera la mort ou l’invalidité du sujet, à l’exception des cas où les médecins qui font les recherches servent eux-mêmes de sujets à l’expérience.
  6. Les risques encourus ne devront jamais excéder l’importance humanitaire du problème que doit résoudre l’expérience envisagée.
  7. On doit faire en sorte d’écarter du sujet expérimental toute éventualité, si mince soit-elle, susceptible de provoquer des blessures, l’invalidité ou la mort.
  8. Les expériences ne doivent être pratiquées que par des personnes qualifiées. La plus grande aptitude et une extrême attention sont exigées tout au long de l’expérience, de tous ceux qui la dirigent ou y participent.
  9. Le sujet humain doit être libre, pendant l’expérience, de faire interrompre l’expérience, s’il estime avoir atteint le seuil de résistance, mentale ou physique, au-delà duquel il ne peut aller.
  10. Le scientifique chargé de l’expérience doit être prêt à l’interrompre à tout moment, s’il a une raison de croire que sa continuation pourrait entraîner des blessures, l’invalidité ou la mort pour le sujet expérimental.

(Extrait du jugement du TMA, Nuremberg, 1947. Trad. française in F. Bayle, Croix gammée contre caducée. Les expériences humaines en Allemagne pendant la Deuxième Guerre Mondiale, Neustadt, Commission scientifique des Crimes de guerre, 1950.)


Les survivants de l’Holocauste exigent la fin du vaccin Covid-19 !

Les survivants de l’Holocauste envoient une lettre ouverte à l’EMA (European Medicines Agency) et à la MHRA (Medicines and Healthcare products Regulatory Agency) exigeant la fin du déploiement du vaccin Covid-19 parce qu’ils voient un autre Holocauste se dérouler sous leurs yeux !

Source : profession-gendarme.com

Les survivants de l’Holocauste et leurs descendants ont remis une lettre à l’Agence européenne des médicaments (EMA) et à l’Agence britannique de réglementation des produits médicaux (MHRA) exigeant l’arrêt du déploiement du vaccin Covid-19 suite à la décision de la FDA d’accorder l’approbation complète à de nouveaux lots de vaccins COVID-19 Pfizer.

Les survivants ont accusé les autorités de ne pas avoir informé adéquatement les populations des risques liés aux vaccins et d’avoir violé le droit au consentement libre et éclairé en vertu du Code de Nuremberg.

Les injections de Covid-19 sont actuellement soumises à ce que l’on appelle une autorisation de mise sur le marché conditionnelle en Europe et une autorisation temporaire au Royaume-Uni, ce qui signifie qu’elles ne sont autorisées qu’en cas d’urgence car elles resteront en phase trois d’essais cliniques jusqu’en 2023 [ou fin 2022 suivant le laboratoire].

Les survivants de l’Holocauste ont déclaré que l’immunisation de la planète entière n’avait jamais été accomplie auparavant en délivrant un ARNm synthétique dans le corps humain. C’est une expérience médicale à laquelle il faut appliquer le Code de Nuremberg…

« Nous, les survivants des atrocités commises contre l’humanité pendant la Seconde Guerre mondiale… vivons un déjà-vu si horrible que nous nous levons pour protéger nos semblables. »

Dans la lettre à l’EMA, les auteurs énumèrent 22 événements indésirables graves qui étaient connus de la FDA avant l’autorisation d’utilisation d’urgence mais n’ont pas été portés à la connaissance du public, notamment […] un accident vasculaire cérébral, une myocardite, un syndrome inflammatoire multisystémique aigu chez les enfants, le syndrome de Guillain-Barré, les maladies auto-immunes [etc.]

Lire aussi Le lourd bilan

Les survivants de l’holocauste écrivent que « le degré de risque à prendre ne doit jamais dépasser celui déterminé par l’importance humanitaire du problème à résoudre. La vaccination contre le Covid s’est avérée plus dangereuse que le Covid pour environ 99% de tous les humains. »

Comme l’a documenté Johns Hopkins dans une étude portant sur 48 000 enfants, les enfants ne courent aucun risque de contracter le virus. Vos propres données montrent que les enfants, qui ne sont pas exposés au virus, ont eu des crises cardiaques après la vaccination ; plus de 15 000 ont subi des événements indésirables, dont plus de 900 événements graves. Au moins 16 adolescents sont décédés suite à la vaccination aux États-Unis.

Les signataires ajoutent que selon le principe 10 du Code de Nuremberg, les expériences médicales doivent être interrompues chaque fois que « la poursuite de l’expérience est susceptible d’entraîner une blessure, une invalidité ou la mort du sujet expérimental. »

Ils ont également souligné que les mandats de vaccination violent le droit au consentement volontaire en vertu du Code de Nuremberg « sans l’intervention d’aucun élément de force, de fraude, de tromperie, de contrainte, d’excès ou de toute autre forme ultérieure de contrainte ou de coercition. »

« S’il y a 80 ans c’étaient les Juifs qui étaient diabolisés comme des propagateurs de maladies infectieuses, aujourd’hui ce sont les non vaccinés. »

Les auteurs, qui incluent des survivants des camps de concentration, leurs fils, filles et petits-enfants, déclarent : “Il est évident pour nous qu’un autre holocauste de plus grande ampleur se déroule sous nos yeux. La majorité de la population mondiale ne réalise pas encore ce qui se passe, car ce type de crime organisé dépasse le cadre de leur expérience. Nous savons pourtant. Certains d’entre nous ont des souvenirs personnels.

(…)

Voici la lettre envoyée à l’EMA et à la MHRA par les survivants de l’Holocauste dans son intégralité –

Mesdames et Messieurs,

Nous, les survivants des atrocités commises contre l’humanité pendant la Seconde Guerre mondiale, nous sentons tenus de suivre notre conscience et d’écrire cette lettre.

Il est évident pour nous qu’un autre holocauste de plus grande ampleur se déroule sous nos yeux. La majorité de la population mondiale ne réalise pas encore ce qui se passe, car l’ampleur d’un crime organisé comme celui-ci dépasse leur champ d’expérience. Nous savons pourtant. On se souvient du nom de Josef Mengele. Certains d’entre nous ont des souvenirs personnels. Nous vivons un déjà-vu si horrible que nous nous levons pour protéger nos pauvres frères humains. Les innocents menacés comprennent désormais des enfants, et même des nourrissons.

En seulement quatre mois, les vaccins COVID-19 ont tué plus de personnes que tous les vaccins disponibles combinés de mi-1997 à fin 2013 – une période de 15,5 ans.

Et les personnes les plus touchées ont entre 18 et 64 ans – le groupe qui ne figurait pas dans les statistiques Covid.

Nous vous demandons d’arrêter immédiatement cette expérience médicale impie sur l’humanité.

Ce que vous appelez « vaccination » contre le SRAS-Cov-2 est en réalité un empiètement blasphématoire sur la nature. Jamais auparavant la vaccination de la planète entière n’avait été réalisée en délivrant un ARNm synthétique dans le corps humain. C’est une expérience médicale à laquelle le Code de Nuremberg doit s’appliquer.

Les 10 principes éthiques de ce document représentent un code d’éthique médicale fondamental qui a été formulé lors du procès des médecins de Nuremberg pour garantir que les êtres humains ne seront plus jamais soumis à des expérimentations et procédures médicales involontaires.

Principe 1 du Code de Nuremberg :

(a)Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela signifie que la personne concernée doit avoir la capacité juridique de donner son consentement ; doit être situé de manière à pouvoir exercer le libre choix, sans l’intervention d’aucun élément de force, de fraude, de tromperie, de contrainte, d’excès ou de toute autre forme ultérieure de contrainte ou de coercition ; et devrait avoir une connaissance et une compréhension suffisantes des éléments du sujet en cause pour lui permettre de prendre une décision avisée et éclairée.

(b) Ce dernier élément exige qu’avant l’acceptation d’une décision affirmative par le sujet expérimental, il lui soit fait connaître la nature, la durée et le but de l’expérience ; la méthode et les moyens par lesquels elle doit être menée ; tous les inconvénients et dangers raisonnablement prévisibles ; et les effets sur sa santé ou sa personne qui peuvent éventuellement provenir de sa participation à l’expérience.

(c) Le devoir et la responsabilité de vérifier la qualité du consentement incombent à chaque individu qui initie, dirige ou s’engage dans l’expérience. C’est un devoir et une responsabilité personnels qui ne peuvent être délégués à autrui en toute impunité.

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