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Au milieu des années 2000, quelques années après mes premiers pas sur Internet avec le site Résistancenet.org en 1999, je me suis proposé de poursuivre l’expérience du commentaire occasionnel de l’actualité mondiale à travers ce petit blog, et je continue aujourd’hui, dans le respect du IXe commandement du Décalogue qui interdit le faux témoignage (un commandement que tant de publicistes négligent). Ce blog vous donnera peut-être envie aussi de lire mes livres sur la Serbie, le Béarn, la Transnistrie, l’Abkhazie, les régimes populistes… (et pour une présentation plus vivante des contenus de ce blog n’hésitez pas à vous abonner gratuitement à TV Delorca sur You Tube !)
Le décès suspect du Pr Giuseppe De Donno
2 Août 2021 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #coronavirus-vaccination-big pharma
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Le Professeur Giuseppe De Donno, 54 ans, a été retrouvé mort le 27 juillet dernier en fin d’après-midi. Ancien chef de service de pneumologie à l’hôpital » Carlo Poma » de Mantoue, il avait participé à une mission de coopération avec la Chine. Il était revenu de ce pays avec des masques, des ventilateurs, mais aussi de l’artemisia et du plasma antisanguin de malades qui avaient vaincu le Covid. Il allait ainsi devenir le père de la thérapie par le plasma hyperimmune qui donna de bons résultats sur des dizaines de malades (ce médicament a depuis été exploité par le centre médical Souraky de Tel Aviv et sera commercialisé par la firme israélienne Kamada filiale de Zacks Medical). Il avait déclaré dans La Verità du 15 juin 2020 : « La plasmothérapie est bon marché, elle fonctionne très bien, elle ne fait pas de milliardaires. Et je suis un médecin de campagne, pas un actionnaire de Big Pharma. »
Les circonstances de sa mort sont douteuses : il se serait suicidé par pendaison chez lui à Eremo di Curtatone près de Mantoue mais ses derniers mots à sa famille ont été seulement « je descends pour étudier »…. Autre information qui npose problème : le Dr De Donno aimait profondément la vie selon ses proches et le suicide n’avait aucune raison d’être à ce moment-là, d’autant qu’il était catholique, profondément religieux. Dernièrement, il avait obtenu ce qu’il demandait. En d’autres termes, la possibilité de travailler comme médecin généraliste après avoir quitté l’hôpital, ce qui ne pouvait que le satisfaire.
Il n’était pas antivaccin, et s’était même fait vacciner contre le Covid. Mais les grands médias italiens l’avaient ridiculisé en laissant entendre que sa thérapie par le plasma ne marchait pas, comme ils ont essayé de le faire du Pr Raoult en France. Cela a justifié l’ouverture d’une enquête judiciaire pour homicide involontaire. Déjà en avril dernier le site Bufale.net avait diffusé un canular sur son pseudo-décès.
Une série de décès suspects d’immunologistes et d’hématologues a eu lieu en Italie cette année : le 7 janvier, Lucio Marrocco, 56 ans, directeur du service de l’hôpital de Cosenza qui gérait la vaccination se jette du cinquième étage d’un immeuble ; Fernando Aiuti, 83 ans, pionnier de la lutte contre le SIDA est tombé le 9 janvier dans la cage d’escalier de l’hôpital Gemelli à Rome. Certains incluent aussi à cette liste, le décès deux ans plus tôt, le 3 mars 2019, de Francesco Lo Coco, sommité de l’hématologie, 63 ans, au cours d’un déjeuner au restaurant dans le nord de Rome avec le champion de sabre Luigi Miracco, se lève entre deux plats puis va se jeter du haut du haut d’un pont (mais c’est tout de même plus ancien…) On rapproche aussi cela d’une série d’assassinats de chercheurs en médecine « holistique » en 2015 aux Etats-Unis évoquée dans ce papier, mais je n’ai pas pu vérifier les infos dans la presse mainstream comme dans les affaires italiennes. Il y a eu aussi le décès suspect de la lanceuse d’alerte Brandy Vaughan aux Pays-Bas en décembre dernier, et celui quatre ans plus tôt de l’ex-chanteuse lanceuse d’alerte Claire Séverac d’un cancer fulgurant de l’estomac. Elle était persuadée, d’après une lettre à son ami auteur de best seller Gilles Lartigot, d’avoir été empoisonnée à l’été 2016 par des gens qui avaient pénétré à son domicile pendant qu’elle était en vacances en Corse et introduit une matière toxique sous son lit …
De nombreux manifestants anti-pass sanitaire en Italie ont demandé la vérité sur la mort de De Bonno.